SYNOXIS ALGAE

La culture des algues à haut rendement

Fabricant de machines d’étude et de culture d’algues qui permettent aux chercheurs d’approfondir leurs connaissances et aux industriels d’optimiser leurs productions. 

De la recherche en laboratoire aux usages industriels les plus divers 

Spécialiste de la phycologie,  SYNOXIS ALGAE développe la connaissance appliquée à des systèmes de production d’algues. Qu’il s’agisse de microalgues, autrement appelées phytoplancton, ou de macroalgues visibles à l’oeil nu, ces organismes vivants, qui produisent 72% de l’oxygène de la planète, constituent des alternatives à la viande, aux carburants, aux plastiques, à la cosmétique, à la chimie, à la pharmaceutique, etc. Cependant, ces algues restent encore méconnues des chercheurs et des industriels. Sur les 300 000 espèces suspectées, 30 000 sont répertoriées tandis que seule une trentaine est aujourd’hui produite à grande échelle. La mission de SYNOXIS ALGAE est de proposer des machines automatisées pour favoriser la recherche en laboratoire ; et leur permettre de trouver des voies de valorisation industrielle de ces organismes extraordinaires.

Les photobioréacteurs Nano, Lucy et Jumbo…-  produits par cette start-up mêlant biologie et haute technologie, se caractérisent par leur emprise au sol restreinte. Autre avantage : la faible quantité d’eau qu’ils utilisent en système fermé limitant l’évaporation dans le processus de culture. Composés de tubes verticaux, ces machines sont capables de produire une forte densité d’algues. Enfin, celles conçues à partir du système breveté – le concept SALT pour Spiral Air Lift Tubular -, développé en collaboration avec l’Ifremer et l’Université de Nantes, ont  la particularité d’être très peu énergivores tout en garantissant une production optimale de ces microalgues aux pouvoirs révolutionnaires. 

« À titre d’exemple, nos photobioréacteurs permettent de récolter 9,5 g de spiruline par litre quand l’aquaculteur en récolte entre 0,3 et 1 g par litre. Pour l’isochrysis, nous en récoltons 130 millions de cellules par millilitre contre 5 à 30 millions en méthode traditionnelle. »

Hugo Vuillemin, chef de projets microalgues
Les 100 solutions

Découvrir les autres solutions



Voir toutes les solutions